vendredi 30 septembre 2016

BREF JE ME SUIS TAPÉ UNE MARCHANDE D'AMOUR


Je vais tout d'abord commencer en m'excusant pour ma période d'abstinence  " chronicienne " et en précisant que toute ressemble avec l'histoire qui va suivre à une " true-life " et des personnes réelles serait totalement fortuite.
Dans un premier temps je souhaite parler brièvement de la prostitution. Mon regard sur la chose a énormément changé avec les années. On va dire que plus jeune je pouvais mépriser une personne exerçant cette activité ou ayant recours à ces services alors que maintenant je suis plus ouvert sur la question et je trouve très respectable une personne qui se prostitue si bien entendu elle fait cela par choix, dans le respect et dans de bonnes conditions ce qui n'est malheureusement pas le cas aujourd'hui. Loin de moins l'idée de faire l'éloge de ce " métier ", je ne suis pas pour le tapinage mais comme expliquer ci-avant ma vision sur le monde change avec le poids des années et je porte une profonde attention sur les actions que l'on puisse commettre sans continuellement apporter un jugement de valeur qui sont évidemment adapté à chacun " On a tous raison en fonction de notre point de vue propre " et plutôt me tourner vers une réflexion qui amène à ces échéances de pensées.
Bref je suis chiant avec ma philo de comptoir et m'en vais directement commencer ma chronique après cette introduction qui se veut en partie justificative du fait d'aller voir une femme légère tarifée...

Un jour où j'en avais marre des relations éphémères avec les cassos, pintades de Tinder et autre sites de rencontre ou des filles pas spécialement à mon gout autant pour leur physique que pour leur absence de personnalité, j'ai eu la brillante idée de me tourner vers la prostitution pour une recherche aux antipodes des éléments cités ci avant !
Je me rappellerai toujours cette formidable et grande discussion lors d'un apéritif que j'ai pu avoir dans ma vingtaine avec un autre entraineur de football, je l'étais aussi dans le club house avec les familles et au milieu des gosses de son expérience en Espagne avec une pute. Après on va dire que les footballeurs sont des cons mais ce soir là mon homonyme frôlait le génie...
Il se trouve qu'il avait fait le voyage avec des amis et il nous partagea sa visite et sa vision de la culture espagnole. Bref pour mieux apprécier les coutumes il trouva opportun de picoler et de prendre du viagra avant de rentrer dans ce type d'établissement. En fait il était à la frontière espagnole et s'apprêtait à rentrer dans un bordel, terme assez paradoxal tant l'endroit été classe et bien rangé. Ces premiers mots pour définir cet maison close fut qu'il se sentait comme un Dieu et que pris par de tels sentiments il en perdit sa lucidité et partit avec la première venue faire sa formidable affaire. Je passerais les détails sur ses supposés qualité d'étalon... 
Je me rappelle de ma réaction initiale d'acquiescement à l'époque où estomaqué par tant d'assurance et d'impertinence, je suis resté stoïque. J'avais mon jugement négatif du moment mais je l'ai gardé pour moi. Si c'était à refaire je pense que j'élèverai le débat mais surtout prendrais l'initiative de remettre à plus tard cette conversation s'apparentant plus à un monologue à un lieu plus opportun à ce type d'échange...
Donc une dizaine d'années plus tard, pour ficeler la boucle je me suis dis qu'il fallait que je me fasse mon propre constat. Pour cela je me suis diriger vers l'Espagne avec pour seule expérience celle citée précédemment et une enquête préalable sur internet quant aux tarifs appliqués. Ma principale exigence était de rencontrer une fille canon à mes yeux, une fille que l'on ne voit pas à tous les coins de rues et avec qui rien ne serait possible dans la vie réelle. Là je m'avance un peu trop vite car on a tendance à trop rapidement mettre des personnes sur un piedestal et du coup les rendre nous même inaccessible en les regardant de loin sans jamais essayer d'approcher ou toucher le but convoiter. J'évalue une tactique et me dis qu'en y allant en semaine et à l'ouverture il y aura certainement moins de monde et je serai surement la première personne de la journée qui fera affaire avec la fille. Avant de rentrer dans l'établissement, je suis allé faire des courses car les prix en Espagne sont beaucoup plus attractif qu'en France. Pour le lieu j'ai donc choisi le Paradise à la Jonquera qui est le plus grands prostibule d'Europe. Je m'apprête donc à rentrer en fin d'après midi et contrairement à mon " ami " je n'ai absolument pas pris une quelconque substance dopante... L'entrée se fait comme dans une boite de nuit avec un guichet où l'on doit montrer patte blanche. Je m'acquitte de la somme, on me remet une consommation à récupérer au bar et je rentre dans " l'antre de Dieu ". Il se trouve que c'est plutôt calme, il n'y a pas grand monde, je me dirige d'un pas décider vers la boisson qui m'est offerte avec le paiement de l'entrée. Je m'assis tranquillement au bar et commande une eau pétillante avec des glaçons et une rondelle. Je précise de citron car dans ce genre d'adresse on peut vite faire des amalgames... Je bois tranquillement mon verre et commence à scruter du regard la salle. Les hommes présents sont tous très chics comme s'ils avaient un besoin de plaire alors que la barrière ici est seulement une question de trésorerie. On range complètement au placard notre sex appeal et l'on ne voit en nous qu'un porte monnaie plus ou moins garni. Je m'égare et dénature la pauvre personne qui se trouve là. J'en profite donc pour siroter une gorgée en m'adonnant à un défilé de salopes toutes plus belles les unes que les autres... Elles sont toutes en petite tenue très sexy laissant apparaitre leurs formes et leur exquise beauté. Tout à coup une jolie blonde à la poitrine naturelle passe au loin devant moi et en s'éloignant je peux apercevoir autour de son string, la cellulite ou peau d'orange baver sur ses fesses. La culotte de cheval, cet amas de cellules adipeuses venant se stocker et rendant les parties sexy d'une femme dégueulasse... Par exemple mon ex avait tellement de peau d'orange que si je lui avais pressé les cuisses il en serait sortit ma vitamine C pour l'année... Je suis toujours accoudé au bar quand 2 femmes s'approchent et commencent un marchandisage oppressant envers moi. Les 2 étaient brunes avec des plastiques plus que respectables. L'une était le sosie d'Inna la chanteuse dance pop roumaine. L'autre était plus athlétique mais avec une salle gueule. Elles me proposent un duo ceux à quoi je rétorque avec une incroyable modestie ne pas être intéressé pas parce que je manque d'arguments mais plutôt par manque de moyens... Je les trouve un peu agressive et me sens comme un morceau de viande ce qui est assez paradoxal dans ce genre de lieu car elles ont réussis à retourner la situation en devenant les chasseuses et non la proie... Finalement je me laisse convaincre par le sosie de la pop star et délaisse l'adepte de fitness. Je suis donc cette jeune femme moldave en ayant bien entendu préalablement négocié avec elle le temps ainsi que le tarif de ses prestations. Nous arrivons dans un hall desservant les chambres et l'on doit encore payer quelques écus auprès d'une femme de ménage pour des draps propres, une ou plusieurs capotes et enfin accéder au Graal si attendu. Nous nous retrouvons dans la chambre et elle commence à prendre les devant en m'allongeant sur le lit et en me demandant de me détendre. Elle ouvre le préservatif et me l'installe sur le sexe avec sa bouche. C'est un condom rouge, je me retrouve un peu comme avec un nez de clown sur le gland. Il est assez bizarre car très épais, on aurait dit que l'on m'a mis un gant en plastique isolant d'électricien sur la bite tellement j'avais peu de sensations... Enfin suite à une fellation énergique, elle me grimpe dessus avec ses seins siliconés, de ceux qui lorsqu'elle s'allonge sur le dos à la plage ne retombent pas... Elle me demande de me relaxer et entreprend des va et vient sur mon sexe en érection mais sans aucune excitation du fait de l'épaisseur du capuchon indispensable que j'ai autour du sexe. Son massage se veut toujours de plus en plus énergique, elle reste très collée à moi lorsque je m'aperçois qu'en fait elle masque sa main avec laquelle elle est entrain de me branler en simulant la position de l'amazone. Le fait d'apercevoir la ruse moldave et la supercherie dont je viens d'avoir été la victime me fait retomber la trique. Elle aura beau s'employer nerveusement à me redonner l'envie, je n'arriverai guère qu'à éjaculer en me finissant tout seul à la main tellement cette carapace rouge sur la verge annihiler tout plaisir... J'étais forcément déçu et cela toucha mon égo, moi Mr 99 % de donneur d'orgasmes féminins...
Bref je repars tout de même avec une leçon de vie. Je l'ai enrichie d'une nouvelle expérience certes non concluante dont je vous fais profiter et qui je l'espère vous aura plu pour ceux et celles qui la liront. Je vais essayer d'être un peu plus productif en terme d'écriture dans les semaines à venir, alors n'hésitez pas à me dire ce que vous pensez pour que je puisse m'améliorer et parler de sujets qui seraient susceptibles de vous intéresser d'avantage....

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